Pâques, le vrai printemps

Le printemps, on l’attend toujours avec impatience et joie. Il suffit que les jours s’allongent, qu’il y ait un peu plus de lumière et de chaleur, que l’on voit poindre quelques bourgeons aux tiges des  arbres et renaît en nous un goût de vie et d’espérance.

Pâques, fête de la résurrection du Christ coïncide toujours avec le printemps, avec la renaissance de la nature puisque Pâques est la fête de la vie, fête d’un printemps qui ne finit pas.

Pâques est la fête du Vivant, rayonnant et vainqueur, fête d’un Dieu d’amour qui nous tend la main et vient nous relever de toutes nos morts.

Pâques, Joie des chrétiens et chrétiennes qui fêtent le Christ ressuscité qui est toujours avec eux et qui est notre vrai printemps.

Pâques, fête du Christ ressuscité qui vient nous imprégner de toute sa personne.

Pâques nous invite à avoir un visage de ressuscités joyeux et joyeuses d’appartenir au Christ, joyeux qu’il donne un sens à notre vie et joyeux de répondre le mieux possible à ce qu’Il attend de nous.

Pâques, fête de vie et d’espérance exige que nous semions la vie, la joie, l’entraide, l’écoute… autour de nous. Quand les gens nous rencontrent voient-ils en nous quelqu’un qui leur apporte un supplément de vie et d’espérance ?

Que les alléluias de Pâques illuminent chaque jour de notre vie et que la joie pascale soit pour chacun(ne) espérance, paix et vie nouvelle.

  Jésus est vivant!

     Soyons dans la joie. 

        Alléluia!

            Joyeuses Pâques!

                                L'équipe pastorale

Deux géants de l'histoire du Québec

Née Marie Guyart en 1599, sœur Marie de l’Incarnation a fondé le couvent des ursulines à Québec. Elle arriva au Québec en 1639.
Pour sa part Mgr François de Montmorency-Laval, né en 1623 fut le premier évêque du Québec.
Ils avaient été béatifiés par le pape Jean-Paul II le 22 juin 1980.

Mgr Pierre-André Fournier, président de l’Assemblée des évêques catholiques du Québec rappelle dans un message qu’à travers ces canonisations, l’Église reconnaît « que leur vie et leur enseignement, leur foi et leur engagement font de ces deux figures monumentales de l’histoire du Québec – et des débuts de l’Église en Amérique du Nord – des modèles et des sources d’inspiration pour les chrétiens et chrétiennes de tous les temps et de toutes les cultures ».

Mère Marie de l’Incarnation a été qualifiée par Bossuet de « Thérèse de la Nouvelle France », insistant sur « la grande qualité mystique de la vie et de l’œuvre de Marie Guyard ». Elle entretient avec Dieu une relation amoureuse, source de confiance, de fidélité, de générosité et de désintéressement.

Mgr de Laval, quant à lui, a débarqué au Québec en 1659. Premier évêque du diocèse de Québec, il se dévoua à la construction de l’Église naissante, sans hésiter à parcourir de longues distances à pied pour visiter le troupeau qui lui était confié.  

Sainteté reconnue

Réjouissons-nous avec toute l'Église du Québec de la canonisation de Mgr François de Laval et de Marie-de-l'Incarnation. Prions-les de renouveler en notre pays l'ardeur missionnaire comme ils ont su le faire en leur temps.

Première année du pape François

Le pape François « venu du bout du monde » a inauguré de nombreux chantiers de réforme selon les désirs exprimés par les cardinaux avant le conclave.

Le pape François a su gagner le cœur de nombreuse personnes, au-delà des cercles catholiques.
Il tient à vivre simplement à la Maison Sainte-Marthe. Les vêtements liturgiques dorés demeurent dans les armoires. Il n’hésite pas à prendre son téléphone pour rejoindre quelqu’un.
Les journées mondiales de la jeunesse, l’été dernier, au Brésil, ont attiré 3 millions de personnes.
Dans une longue interview le pape François a déclaré : «Présenter le pape comme une espèce de superman, une sorte de star, me paraît offensant. » Il assure être une personne normale, un homme qui rit, pleure, dort tranquille et a des amis comme tout le monde.
Il aime répéter que c’est le Christ qui est au centre, pas lui. De fait, il ne brille pas comme une star, il éclaire comme un témoin, sa lumière vient d’un autre.

Un temps d'arrêt

Bientôt, le jeudi 20 mars, un temps d'arrêt nous est proposé.
Un temps pour puiser à la source.
Un temps de réflexion avec des personnes des 3 paroisses qui forment l'unité pastorale des Riverains.
Un animateur-conférencier connu pour son don de communicateur de la Parole, Jacques Lamoureux, prêtre, curé dans la ville de Saint-Hyacinthe.
C'est à 18h45 pour donner aussi la possibilité d'écouter le débat des chefs.
Et c'est à l'église de Saint-Antoine

Le thème :

Se laisser «tenter» par Dieu

Quelle expression! Dieu nous tenterait-il, dans le sens de nous proposer des voies qui s'écartent de ce qui est bon? Je ne le crois pas.
Mais me tente-t-il dans le sens courant de l'expression: est-ce que j'ai le goût de m'en approcher davantage? Là c'est beaucoup plus dérangeant.
Une question dans les mots croisés, que j'aime bien faire le plus souvent possible, m'a éveillée à cette dimension. Tentation était présenté comme «ce qui suscite le désir». Et me voilà engagée dans une réflexion sur l'orientation de mon désir.
La première semaine du Carême nous place devant les tentations de Jésus au désert. Alors que lui sont présentés des désirs susceptibles de le détourner de l'appel qu'il ressent au plus profond de lui, il réplique en précisant toujours davantage le désir passionné qui l'anime.

Bientôt le Carême

Le carême débute le 5 mars prochain avec la célébration du mercredi des cendres. Ce temps fort nous invite à écouter la Parole de Dieu d’une manière nouvelle et à nous appliquer à la prière d’une manière telle que nous puissions arriver à Pâques, le 20 avril,  avec un cœur neuf.

Le mercredi des cendres dans nos trois paroisses
Messe et imposition des cendres

Saint-Marc 9h 00 à la salle des Habitations
Saint-Roch 13h 30
Saint-Antoine 19h 00