Nous nous préparons ces jours-ci à recevoir de la visite ou à visiter parents et amis. Aurons-nous la même exclamation qu'Élisabeth lorsqu'elle reçoit la visite de Marie: Comment ai-je ce bonheur!
Le bonheur... c'est la quête de l'humanité, notre quête. De quel bonheur s'agit-il, de quelle joie s'agit-il? Saurons-nous nous réjouir et porter la joie autour de nous, malgré peut-être des aspects moins réjouissants... et oserons-nous parler du bonheur de croire?
À venir
ACTUALITÉS, consulter la page ACTIVITÉS pour connaître les détails ou téléphoner au presbytère, 450 584-2185
dimanche 23 décembre 2012
samedi 15 décembre 2012
Deux nouveaux marguilliers
Dimanche dernier, nous avons eu la joie d'acceuillir deux nouveaux marguilliers à la paroisse. Ils ont été élus après avoir généreusement accepté de se joindre à l'équipe. Il s'agit de madame Marie-Claude Julien et de monsieur Mario Gatien. Nous leur souhaitons la bienvenue et les remercions de leur disponibilité.
Nos remerciements vont à monsieur Robert Maloin qui a terminé son engagement après 2 termes réguliers et un remplacement.
Nos remerciements vont à monsieur Robert Maloin qui a terminé son engagement après 2 termes réguliers et un remplacement.
dimanche 9 décembre 2012
Un merci spécial
Dimanche dernier un hommage spécial a été rendu à l'organiste de la paroisse, Dominique Vary. Depuis 40 ans, elle accompagne les célébrations dominicales. Elle a débuté dès l'âge de 10 ans. À cette époque, il y avait trois messes chaque dimanche. Le samedi soir elle accompagnait Mme Claire Blanchard, et le dimanche matin à 9h30 la chorale dirigée par Sr Mariette Tellier et à 11h une chorale de jeunes dirigée par Mme Nicole Vary, sa mère.
Pour l'occasion ces trois personnes témoins de ses débuts étaient au rendez-vous. Sr Mariette a fait à tous la surprise de sa présence. Quant à Mesdames Blanchard et Vary, elles sont toujours membres de la chorale qui assure l'animation musicale certains dimanches, comme c'était le cas en ce premier dimanche de l'Avent.
Pour souligner l'événement, un certificat cadeau a été remis à Dominique par M. Ronald Leduc, vice-président de la Fabrique.
Pour l'occasion ces trois personnes témoins de ses débuts étaient au rendez-vous. Sr Mariette a fait à tous la surprise de sa présence. Quant à Mesdames Blanchard et Vary, elles sont toujours membres de la chorale qui assure l'animation musicale certains dimanches, comme c'était le cas en ce premier dimanche de l'Avent.
Pour souligner l'événement, un certificat cadeau a été remis à Dominique par M. Ronald Leduc, vice-président de la Fabrique.
dimanche 2 décembre 2012
L'AVENT débute
Comment ai-je ce bonheur?
Tout au cours des quatre semaines de l'Avent, les liturgies dominicales nous inviteronts à méditer ces paroles tirées de la salutation d'Élisabeth à Marie. Le mot de Céline (voir réflexion de l'équipe pastorale) nous y introduit. Et pourquoi ne pas lire et relire cette salutation d'Élizabeth directement dans le texte laissé par l'évangéliste Luc (Lc 1, 42) ?
Quelques autres ressources pour se laisser guider dans la prière tout au long de l'Avent 2012 sont offertes sur internet:
www.aventdanslaville.org
http://www.ndweb.org/versdimanche
https://abonnement.novalis.ca/open/prier-la-parole.htm
Certains de ces sites offrent aussi des applications pour mobiles.
Tout au cours des quatre semaines de l'Avent, les liturgies dominicales nous inviteronts à méditer ces paroles tirées de la salutation d'Élisabeth à Marie. Le mot de Céline (voir réflexion de l'équipe pastorale) nous y introduit. Et pourquoi ne pas lire et relire cette salutation d'Élizabeth directement dans le texte laissé par l'évangéliste Luc (Lc 1, 42) ?
Quelques autres ressources pour se laisser guider dans la prière tout au long de l'Avent 2012 sont offertes sur internet:
www.aventdanslaville.org
http://www.ndweb.org/versdimanche
https://abonnement.novalis.ca/open/prier-la-parole.htm
Certains de ces sites offrent aussi des applications pour mobiles.
dimanche 25 novembre 2012
Des missionnaires chez nous
En novembre a eu lieu la quête diocésaine annuelle pour « la mission du Brésil » qui s’est élargie pour devenir aussi la collecte annuelle pour « Les œuvres missionnaires du diocèse ».
Cette année l’accueil de 3 missionnaires de l’Inde retient notre attention. Ces trois jeunes prêtres sont arrivés le 18 septembre dernier. Ils sont membres de la société apostolique des « Hérauts de la Bonne Nouvelle » fondée en 1984 et qui compte 400 prêtres. Ils se préparent à seconder les prêtres du diocèse en milieu paroissial.
La collecte diocésaine de cette année servira entre autre, à couvrir les frais encourus pour l’accueil et la préparation pastorale des ces missionnaires : école de langue, soutien financier, frais de voyage, d’assurances et de subsistance, soit 30 000 $ par missionnaire.
Vous n'étiez pas là mais vous aimeriez collaborer à ce projet en faisant un don? Il est possible de faire parvenir votre offrande au secrétariat de la paroisse.
Cette année l’accueil de 3 missionnaires de l’Inde retient notre attention. Ces trois jeunes prêtres sont arrivés le 18 septembre dernier. Ils sont membres de la société apostolique des « Hérauts de la Bonne Nouvelle » fondée en 1984 et qui compte 400 prêtres. Ils se préparent à seconder les prêtres du diocèse en milieu paroissial.
La collecte diocésaine de cette année servira entre autre, à couvrir les frais encourus pour l’accueil et la préparation pastorale des ces missionnaires : école de langue, soutien financier, frais de voyage, d’assurances et de subsistance, soit 30 000 $ par missionnaire.
Vous n'étiez pas là mais vous aimeriez collaborer à ce projet en faisant un don? Il est possible de faire parvenir votre offrande au secrétariat de la paroisse.
dimanche 18 novembre 2012
Mgr Lapierre parle du Synode
Mgr François Lapierre, notre évêque était un des 4 évêques canadiens au Synode (réunion d'évêques du monde entier) sur la nouvelle évangélisation. Le 21 octobre il écrivait un message dont voici le texte qui a été publié récemment.
Enfin quelques lignes sur la fin du Synode sur la Nouvelle Évangélisation et sur les suites que nous sommes appelés à lui donner.
Je voudrais d’abord souligner l’importance du message final. Dès le début, on y présente la rencontre de Jésus avec la Samaritaine au puits de Jacob (Jean 4, 5-42) comme une page d’évangile qui éclaire la route d’une évangélisation renouvelée.
Ce passage de l’évangile de Jean nous montre l’importance de la rencontre au cœur de l’annonce de l’évangile. Le Synode a donné beaucoup d’importance à cette expérience unique qui a fait dire à saint Paul : « Ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi » (Galates 2,20). La proposition no 5 dit : « la Nouvelle Évangélisation est un temps de réveil, de nouvel encouragement et de nouveau témoignage que Jésus Christ est le centre de notre foi et de notre vie quotidienne. Elle invite chaque membre de l’Église à un renouveau de la foi, à un effort actuel pour la partager. »
Mais comment cela est-il possible? Nous savons que nous vivons dans une société où l’identité chrétienne n’est pas d’abord le fruit d’un héritage mais d’une nouvelle réception de l’évangile, et cette réception est impossible sans une nouvelle annonce. Le Synode a reconnu que c’est là une chance et un défi pour notre Église.
Dès le début du Synode, des Pères ont fait remarquer que, dans les documents préparatoires, on ne soulignait pas suffisamment l’importance de l’action de l’Esprit saint dans la Nouvelle Évangélisation. Un Père a rappelé que dans le livre des Actes, l’Esprit Saint est particulièrement présent au début d’expériences nouvelles de la foi. La proposition 36 affirme que c’est l’Esprit Saint qui ouvre les cœurs et les convertit à Dieu, qu’il est l’agent principal de l’évangélisation.
Une proposition, no 36, insiste aussi sur l’importance de la contemplation dans ce temps de Nouvelle Évangélisation. Un Père a fait noter « qu’être contemplatif comme l’est le Christ, c’est être ouvert à toute la plénitude que le Père veut insuffler en nos cœurs ». Cette attitude garde l’Église attentive à la Parole de Dieu et aux signes des temps.
Plusieurs propositions montrent que la Nouvelle Évangélisation n’aura pas lieu s’il n’y a pas une conversion pastorale (no 22). Le Synode souligne fortement la place de l’Église particulière (diocèse) dans ce nouveau temps de l’Évangile (no 41) et la proposition 44 insiste sur le fait que la paroisse a un pressant besoin de s’ouvrir à une vision missionnaire renouvelée.
Des propositions rappellent l’importance des prêtres, des diacres, des catéchètes, des personnes consacrées dans les temps actuels. Mais le Synode insiste sur l’importance des fidèles laïcs dans la Nouvelle Évangélisation (no 45) et sur la famille chrétienne comme Église domestique, et regarde avec lucidité les difficultés que vivent les couples et les familles aujourd’hui.( no 48)
Une grande importance est donnée à l’initiation chrétienne (no 38) et à la catéchèse. La proposition no 29 rappelle que les Conférences épiscopales peuvent demander l’institution du Ministère de catéchète.
Le Synode rappelle également l’importance de l’option pour les pauvres (no 31) et le fait qu’ils ne soient pas seulement des récipiendaires de la Nouvelle Évangélisation mais aussi des acteurs. Il en est de même pour les malades à travers qui le Christ éclaire son Église.( no 32)
Le Synode fait référence également à l’importance de l’œcuménisme et du dialogue inter-religieux. La semaine après le Synode, j’ai participé à une rencontre sur le dialogue avec les Juifs. Le souvenir de l’holocauste est un puissant rappel de l’importance du dialogue et de l’amitié entre les grandes religions.
Ce serait une erreur de croire que l’Église veut revenir au temps des Croisades. Une proposition (no 12) rappelle que l’enseignement du Concile Vatican II est d’une importance vitale pour la transmission de la foi dans le contexte de la Nouvelle Évangélisation. Nous connaissons toute l’importance que le Concile a donné au dialogue avec la culture au discernement des signes des temps.( no 5)
Des commentateurs ont trouvé ces propositions du Synode trop générales. Il faut les situer dans une recherche qui n’est pas terminée puisqu’elles serviront à produire l’exhortation apostolique qui apportera une conclusion à ce long et riche processus commencé avec les « lineamenta » qu’on pourrait traduire par « les grandes lignes » de la réflexion sur la Nouvelle Évangélisation.
Déjà, ce Synode a fait souffler un vent de Pentecôte sur l’ensemble de l’Église, il a su exprimer le désir ardent de renouveau qui brûle dans le cœur de bien des fidèles, aujourd’hui.
+ François Lapierre p.m.é.
Enfin quelques lignes sur la fin du Synode sur la Nouvelle Évangélisation et sur les suites que nous sommes appelés à lui donner.
Je voudrais d’abord souligner l’importance du message final. Dès le début, on y présente la rencontre de Jésus avec la Samaritaine au puits de Jacob (Jean 4, 5-42) comme une page d’évangile qui éclaire la route d’une évangélisation renouvelée.
Ce passage de l’évangile de Jean nous montre l’importance de la rencontre au cœur de l’annonce de l’évangile. Le Synode a donné beaucoup d’importance à cette expérience unique qui a fait dire à saint Paul : « Ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi » (Galates 2,20). La proposition no 5 dit : « la Nouvelle Évangélisation est un temps de réveil, de nouvel encouragement et de nouveau témoignage que Jésus Christ est le centre de notre foi et de notre vie quotidienne. Elle invite chaque membre de l’Église à un renouveau de la foi, à un effort actuel pour la partager. »
Mais comment cela est-il possible? Nous savons que nous vivons dans une société où l’identité chrétienne n’est pas d’abord le fruit d’un héritage mais d’une nouvelle réception de l’évangile, et cette réception est impossible sans une nouvelle annonce. Le Synode a reconnu que c’est là une chance et un défi pour notre Église.
Dès le début du Synode, des Pères ont fait remarquer que, dans les documents préparatoires, on ne soulignait pas suffisamment l’importance de l’action de l’Esprit saint dans la Nouvelle Évangélisation. Un Père a rappelé que dans le livre des Actes, l’Esprit Saint est particulièrement présent au début d’expériences nouvelles de la foi. La proposition 36 affirme que c’est l’Esprit Saint qui ouvre les cœurs et les convertit à Dieu, qu’il est l’agent principal de l’évangélisation.
Une proposition, no 36, insiste aussi sur l’importance de la contemplation dans ce temps de Nouvelle Évangélisation. Un Père a fait noter « qu’être contemplatif comme l’est le Christ, c’est être ouvert à toute la plénitude que le Père veut insuffler en nos cœurs ». Cette attitude garde l’Église attentive à la Parole de Dieu et aux signes des temps.
Plusieurs propositions montrent que la Nouvelle Évangélisation n’aura pas lieu s’il n’y a pas une conversion pastorale (no 22). Le Synode souligne fortement la place de l’Église particulière (diocèse) dans ce nouveau temps de l’Évangile (no 41) et la proposition 44 insiste sur le fait que la paroisse a un pressant besoin de s’ouvrir à une vision missionnaire renouvelée.
Des propositions rappellent l’importance des prêtres, des diacres, des catéchètes, des personnes consacrées dans les temps actuels. Mais le Synode insiste sur l’importance des fidèles laïcs dans la Nouvelle Évangélisation (no 45) et sur la famille chrétienne comme Église domestique, et regarde avec lucidité les difficultés que vivent les couples et les familles aujourd’hui.( no 48)
Une grande importance est donnée à l’initiation chrétienne (no 38) et à la catéchèse. La proposition no 29 rappelle que les Conférences épiscopales peuvent demander l’institution du Ministère de catéchète.
Le Synode rappelle également l’importance de l’option pour les pauvres (no 31) et le fait qu’ils ne soient pas seulement des récipiendaires de la Nouvelle Évangélisation mais aussi des acteurs. Il en est de même pour les malades à travers qui le Christ éclaire son Église.( no 32)
Le Synode fait référence également à l’importance de l’œcuménisme et du dialogue inter-religieux. La semaine après le Synode, j’ai participé à une rencontre sur le dialogue avec les Juifs. Le souvenir de l’holocauste est un puissant rappel de l’importance du dialogue et de l’amitié entre les grandes religions.
Ce serait une erreur de croire que l’Église veut revenir au temps des Croisades. Une proposition (no 12) rappelle que l’enseignement du Concile Vatican II est d’une importance vitale pour la transmission de la foi dans le contexte de la Nouvelle Évangélisation. Nous connaissons toute l’importance que le Concile a donné au dialogue avec la culture au discernement des signes des temps.( no 5)
Des commentateurs ont trouvé ces propositions du Synode trop générales. Il faut les situer dans une recherche qui n’est pas terminée puisqu’elles serviront à produire l’exhortation apostolique qui apportera une conclusion à ce long et riche processus commencé avec les « lineamenta » qu’on pourrait traduire par « les grandes lignes » de la réflexion sur la Nouvelle Évangélisation.
Déjà, ce Synode a fait souffler un vent de Pentecôte sur l’ensemble de l’Église, il a su exprimer le désir ardent de renouveau qui brûle dans le cœur de bien des fidèles, aujourd’hui.
+ François Lapierre p.m.é.
dimanche 4 novembre 2012
Le mois des éternels vivants
Le mois de novembre débute par la fête de tous les saints. En ce mois des vivants, souvenons-nous de Jésus qui nous a dit: «Je pars vous préparer une place et quand je serai allé vous la préparer, je reviendrai vous prendre avec moi et là où je serai, vous y serez vous aussi.»
Le dimanche 11 novembre, nous nous souviendrons des personnes qui ont eu leurs funéraille à Saint-Marc depuis le mois de novembre 2011. Leurs parents et amis sont invités à cette célébration commémorative.
Le dimanche 11 novembre, nous nous souviendrons des personnes qui ont eu leurs funéraille à Saint-Marc depuis le mois de novembre 2011. Leurs parents et amis sont invités à cette célébration commémorative.
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