Née Marie Guyart en 1599, sœur Marie de l’Incarnation a fondé le couvent des ursulines à Québec. Elle arriva au Québec en 1639.
Pour sa part Mgr François de Montmorency-Laval, né en 1623 fut le premier évêque du Québec.
Ils avaient été béatifiés par le pape Jean-Paul II le 22 juin 1980.
Mgr Pierre-André Fournier, président de l’Assemblée des évêques catholiques du Québec rappelle dans un message qu’à travers ces canonisations, l’Église reconnaît « que leur vie et leur enseignement, leur foi et leur engagement font de ces deux figures monumentales de l’histoire du Québec – et des débuts de l’Église en Amérique du Nord – des modèles et des sources d’inspiration pour les chrétiens et chrétiennes de tous les temps et de toutes les cultures ».
Mère Marie de l’Incarnation a été qualifiée par Bossuet de « Thérèse de la Nouvelle France », insistant sur « la grande qualité mystique de la vie et de l’œuvre de Marie Guyard ». Elle entretient avec Dieu une relation amoureuse, source de confiance, de fidélité, de générosité et de désintéressement.
Mgr de Laval, quant à lui, a débarqué au Québec en 1659. Premier évêque du diocèse de Québec, il se dévoua à la construction de l’Église naissante, sans hésiter à parcourir de longues distances à pied pour visiter le troupeau qui lui était confié.
Pour sa part Mgr François de Montmorency-Laval, né en 1623 fut le premier évêque du Québec.
Ils avaient été béatifiés par le pape Jean-Paul II le 22 juin 1980.
Mgr Pierre-André Fournier, président de l’Assemblée des évêques catholiques du Québec rappelle dans un message qu’à travers ces canonisations, l’Église reconnaît « que leur vie et leur enseignement, leur foi et leur engagement font de ces deux figures monumentales de l’histoire du Québec – et des débuts de l’Église en Amérique du Nord – des modèles et des sources d’inspiration pour les chrétiens et chrétiennes de tous les temps et de toutes les cultures ».
Mère Marie de l’Incarnation a été qualifiée par Bossuet de « Thérèse de la Nouvelle France », insistant sur « la grande qualité mystique de la vie et de l’œuvre de Marie Guyard ». Elle entretient avec Dieu une relation amoureuse, source de confiance, de fidélité, de générosité et de désintéressement.
Mgr de Laval, quant à lui, a débarqué au Québec en 1659. Premier évêque du diocèse de Québec, il se dévoua à la construction de l’Église naissante, sans hésiter à parcourir de longues distances à pied pour visiter le troupeau qui lui était confié.
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